Le 10 juin 2006, Terrorisme.net s’interrogeait sur l’évolution probable des franges violentes du mouvement de libération des animaux. Qu’en est-il une demi-année plus tard ? A-t-on véritablement assisté à un moment clé pour le mouvement ? Les résultats des recherches menées par Terrorisme.net offrent un bilan contrasté : incontestablement, les pouvoirs publics et de police ont enregistré de nombreux succès contre ce que le FBI appelle «l’écoterrorisme». Pourtant, au niveau de l’opinion publique et de l’engagement politique légal, on a assisté ces derniers mois à un raz-de- marée en faveur de la cause animale.
Comme prédit sur notre site en juin dernier, les six derniers mois ont été d’une grande importance pour les franges violentes du mouvement de libération des animaux. Il faut distinguer ici entre engagement violent illégal et engagement politique légal en faveur des animaux: bien que la police et la justice aient enregistré des succès importants – par l’arrestation et la condamnation d’acteurs de premier plan en Grande-Bretagne et aux Etats- Unis – et que l’on ait assisté à un renforcement législatif – en particulier par l’actualisation de l’Animal Entreprise Terrorism Act américain, le mouvement de libération des animaux a enregistré ces derniers mois plusieurs succès capitaux en termes d’engagement politique légal et d’approbation par le public (électeurs), notamment aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne.
Terrorisme.net s’intéressera ici dans un premier temps aux derniers développements – au niveau de l’activité légale et illégale en faveur de la cause animale – aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne. Dans un second temps, le champ géographique sera étendu au reste de l’Europe, à la Russie et à la Nouvelle-Zélande.
Dans une troisième partie, Terrorisme.net s’intéressera à la bataille rhétorique que se livrent défenseurs et détracteurs de la cause animale.
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